mercredi 28 juin 2023

Voyage au Brésil du 3 Novembre 2005. au 13 Novembre 2005.

Voyage au Brésil du 3 Novembre 2005. au 13 Novembre 2005. organisé par l'agence "Eleis" de Bourghelles 59830.  Pour celui qui veut découvrir  le Brésil le périple offre un large éventail de paysages. 

Sites visités: Tiradentes, Salvator de Bahia, Ouro Preto, Rio de Juaneiro, Cachoeira, Paraty, Pétropolis, Congonhas, Sao Paulo, les chutes d'Iguaçu , et Salvador de Bahia.

Mes photos sur Flickr: 

https://www.flickr.com/photos/paleclercq/albums/72157642737105034


1er JOUR  jeudi 3 Novembre 2005. 

Décollage de PARIS CD6  pour SAO PAULO sur vol régulier TA .



2 -ème JOUR  vendredi 4 Novembre 2005.

Accueil à L'aéroport, et départ pour OURO PRETO (98 km / 1h30 de route).

OURO PRETO, ville-musée, magnifique ensemble architectural baroque, OURO PRETO (littéralement « Or noir ») doit son nom aux pépites d‘or recouvertes d’une fine couche d'oxyde de fer noire découvertes vers la fin du XVlI éme siècle. Les premiers aventuriers ou « bandeirantes» exploitaient d'importants gisements d'or, crurent trouver I’ELDORADO: les mines constituaient le plus gigantesque gisement d’or de l ‘hémisphère occidental.

Ouro  Preto , ville musée,

La fièvre de I'or s’empara de la cité et la ville connut un développement rapide, devenant ainsi le centre culturel et financier de la colonie du Brésil en prenant le nom de« VILA RICA» (Ville riche). L’or qui n’est pas expédié au Portugal, est employé pour la construction des églises et L'art en général: le baroque métis va ainsi s’épanouir. 

Ouro  Preto ND Do Pilar

Ouro  Preto église St François d'Assise

En 1789, imprégnés des idéaux de la révolution, les poètes DA COSTA et GONZAGA, ainsi que le dentiste TIRADENTES, complotèrent pour l‘indépendance (Mouvement des infidèles), protestant contre Ie pouvoir colonial portugais. La conjuration fut rapidement démantelée avant que L'insurrection n'ait eu lieu, COSTA emprisonné et GONZAGA exilé, leur chef TIRADENTES fut pendu et écartelé sur la place principale qui aujourd‘hui porte son nom. II reste pour les brésiliens le symbole du premier cri pour la liberté et l’indépendance du pays. 

Ouro  Preto Place Tiradentes

Au XlX éme siècle, les gisements s’épuisent et la cité décline à la fin du siècle, elle prend le nom d’OURO PRETO, et sa situation enclavée dans la Serra à 1000 m d'altitude, lui permet de conserver son atmosphère coloniale. Les rues aux pavés ronds bordées de maisons coloniales à l'architecture simple. 

Ouro  Preto 

Façades blanches aux encadrements de fenêtres colons, portails de pierres, balcons de fer forge et les toits de tuiles rouges patinées tombant en cascade...Ouro Preto est un véritable joyau colonial.


Ouro Preto  un véritable joyau colonial.

On y découvre  la place Tiradentes qui abrite Ie musée de la Minéralogie {sous-sol de la région trés riche en pierres précieuses : aigue-marine, tourmaline, diamant, citrine, rubellite et  topaze impériale),

Ouro Preto Museu da Inconfidencia

En 1981, la ville est classée patrimoine culturel mondial par I’UNESCO. Elle offre le souvenir superbe de ce grand siècle de l'or et du baroque colonial : églises à la décoration somptueuse, riches demeures seigneuriales, fontaines sculptées.

3ème JOUR  samedi 5 Novembre 2005.

Visite de Congonhas, (80 ktn / 1h00 de route).

Congonhas, vue générale

Visite de cette cite coloniale, incluant le remarquable sanctuaire de Sanctuaire Campo Bom Jesus de Matosinhos, avec les extraordinaires 12 statues des prophètes en pierre et ses 66 sculptures en bois de cèdre représentant la Passion du Christ. 

Congonhas do Campo Bom Jesus

Lieu de pèlerinage et de mysticisme, Congonhas, classé par l'Unesco, symbolise l'union de l'art et de la foi. Cette réalisation est le chef d‘œuvre d’un personnage qui a marqué Congonhas, mais également Ouro Preto: Antonio FRANCISCO LISBOA appelé « Aleijadinho » surnommé le « Michel Ange brésilien »,

Sanctuaire de Sanctuaire Campo Bom Jesus de Matosinhos

L'artiste perdit l‘usage de ses mains à l'âge de 30 ans, mais. son manteau et son ciseau attachés à ses moignons, il acheminera l’art brésilien des excès du baroque a un rococo plus gracieux ; il est devenu aujourd‘hui dans le monde de l’art, une figure du baroque d'envergure Internationale 

Congonhas, la petite place

Départ pour SAO JOAO DEL REY (100 km / 1h30 de route).

Dans une belle vallée bordée d‘eucalyptus, sur les premiers contreforts de la serra du ESPTNHACO. Grand centre minier pendant le cycle de l'or, la ville a connu ensuite une période de décadence. La construction du chemin de fer en 1881, puis l’immigration italienne développant l’agriculture, contribuèrent a son nouvel essor. On y a trouvé de très belles demeures coloniales ainsi que de superbes églises de style Baroque, dont celle  de SAO FRANCISCO DE ASSIS (1774) et celle du PILAR (1721) .

Igreja de Nossa Senhora do Carmo (São João del-Rei)


Trajet (30 minutes) vers Tiradentes à bord du train historique MARIA FUMACA,
 

Maria-fumaça São João del Rei – Tiradentes,




Autrefois canton de Sao José del Rei, Tirandentes fut renommée ainsi lors de l’avènement de la République, en hommage au meneur de l'lnconfidéncio : Joaquim Jose da Silva Xavier dit Tiradentes, né a proximité dans la Fazenda do Pombol, fut l'instigateur de la conjuration Mineira (Inconfidência Mineira ou Conjuração Mineira en portugais), une révolte qui eut lieu en 1789,

Buste de Tirandentes

La ville de Tiradentes a su habilement maitriser les rapports entre patrimoine et tourisme et invite le visiteur peut y flâner dans les ruelles pavées et animées, ou abondent chapelles, ateliers et galeries d’art, restaurants et magasins d’artisanat. 


 Tiradentes.- Statuettes en bois (Bugigangas) 

La ville est réputée pour la superbe église SAN ANTONIO de 1710, chef d‘œuvre baroque dont l'orgue polychrome fut amené du Portugal ou encore la fontaine de Charafiz de São José

La fontaine de Charafiz de São José


4eme JOUR  Dimanche 6 Novembre 2005.

Départ pour la ville impériale de PETROPOLIS (264 km / 4h00 de route).




Pétropolis connue aussi sous son surnom de « Cité impériale » du  Brésil (Cidade Imperial), est née du rêve d’un empereur. En effet, Dorn Pédro 1er voulait y faire construire le palais de la Concorde. 
Le palais impérial, résidence d‘été de l’empereur



C‘est en réalité sous Pédro II que la vie commença à Pétropolis avec la construction du palais impérial, résidence d‘été de l’empereur, transformée en musée en 1940.  Tour panoramique de cette cité impériale avec la  Cathédrale de São Pedro de Alcântara, dans laquelle reposent les dépouilles de Don Pedro II,  Dona Teresa et la Princess Isabel. Passage devant l'édifice en verre construit en France et importé en 1879 pour abriter une serre d’orchidées
Cathédrale de São Pedro de Alcântara,

Les vitraux du déambulatoire et de la nef dans la cathédrale de Sao Pedro de Alcantara 
sont des années 1930.

Vitrail Jésus dans la maison de Marthe 


Continuation pour RIO DE JANEIRO {66 km / Ih30 de route).

L‘arrivée sur RIO offre un spectacle magnifique. Que ce soit de jour ou de nuit, ie visiteur comprend tout de Suite pourquoi l'on nomme RIO, la ville merveilleuse.




Capitale du plaisir, nichée dans la plus belle baie du monde, aucune ville au monde n’offre un tel bouleversement de reliefs, de baies, de plages superbes, de lacs et de foréts. Samba, Bossa Movo, Copacobona, Zponemo. Cornaval, futebol...ces noms chantent, vibrent  .a l’image des habitants de Rio les « cariocas », qui savent comme personne, cultiver cette soit de vivre, ce culte de l'amour, de la musique, de la danse et de la parole. 




5eme JOUR  Lundi 7 Novembre 2005.
Tour des plages célèbres : COPACABANA, la plus renommée située entre la montagne et l‘océan, IPAMEMA, la plus belle, célébrée par la chanson de Vinicius « Lo fille d'Ipanema », et LEBLON, la plus chic, ou l'on vient admirer les délicats bronzages des sculpturales brésiliennes..




» Corcovado « est une déformation du mot " bossu ", en portugais pour désigner la montagne. qui domine Rio de ses 710 mètres et sur laquelle se dresse la statue géante (38 m de haut, 28 m d’envergure) du Christ rédempteur réalisé par le sculpteur fronçais Paul Landowski. II nécessita 5 ans de travail et fut achevé en 1931. Avec ses bras ouverts, il personnifie l’accueil et l'hospitalité de RIO. Le panorama permet de comprendre la configuration de la ville

Rio de Juaneiro Cristo Redentor la statue



Déjeuner au restaurant pour déguster la « Feijooda»,le plat très populaire , à base de haricots (feijão) et généralement de viande de porc. Consiste en un ragoût  de  haricots noirs (feijão preto), normalement servi avec de la viande et du riz blanc. 

Après le repas ce fut le déport pour l'ascension en téléphérique du célébré PAIN DE SUCRE. Véritable symbole protégeant l’entrée de la baie de Guanaboro, le pain de sucre domine RIO de ses 395 mètres et offre un panorama exceptionnel sur la ville : d'un coté, le littoral avec les plages de Copacobano, Ipanema et Leblon et leurs courbes parfaites bénies par le Christ rédempteur et de l‘autre Flamengo, le centre ville, la baie et en face la vue de Niteroi.

Rio de Janeiro, le Pain de sucre vu de Urca

Le Pain de sucre doit son nom à sa forme le cône de sucre », forme sous laquelle, autrefois, se présentait le sucre.. C'est ici que s'engagèrent  les vaillants navigateurs portugais en Janvier 1702, et croyant avoir affaire o l'embouchure d‘un fleuve, baptisèrent le site « Fleuve de Janvier s ou « Rio de Janeiro » !

6eme JOUR  Mardi 8 Novembre 2005.

Départ pour PARATY par la superbe route littorale qui borde la COSTA VERDE .

La baie de PARATY,

Symbole de l'ère coloniale, superbement préservé, PARATY, cité historique offre l’un des plus riches ensembles architecturaux du Brésil colonial. Quand les portugais s'installèrent a PARATY, au début du XVl éme siècle, la ville était habitée par les indiens Guaianos. Avec la découverte des gisements d*or dans le Minas Gerais à la fin du Xll éme siècle, elle devient le passage obligé et le grand port d‘exportation de l’or vers l’Europe.

La baie de PARATY,

La petite ville prospéra rapidement : ses magnifiques  églises en témoignent.. 


Les magnifiques  églises de Paraty (gallery wikipédia)


Mais  la gloire de PARATY  fut  de courte durée: une nouvelle route après 1720, fut tracée o travers la Serra et réduisit le trajet de RIO vers les mines, de 15 jours. Lo ville amorce son déclin, malgré l'exploitation de la canne à sucre gui prend le relais suivie au XlXéme siècle par le boom du café. A la fin de ce siècle, la construction de la voie de chemin de fer entre Rio et Sao Paulo sonne le glas de PARATY, faisant perdre au port tout son intérêt.. 


Classée monument historique national en t966. PARATY revit depuis cette date en  révélant  ses trésors d‘architecture. 

Sobrado dos Abacaxis


Isolée, ignorée pendant plus de 50 ans, PARATY doit à ce long abandon d’être parmi les villes brésiliennes du XVIIé et XVIIIé siécle, celle qui est la mieux conservée. C'est un véritable bijou architectural. avec les pavés irréguliers des rues appelés « pé-de-moleque » (pas des gamins des rues.), ses nombreux « sobrados » aux portes et aux fenêtres colorées, et aux balcons en fer orné (dessins attribués a !a "Maçonnerie").

Paraty.– Azulejos du bureau de poste Rua do Comércio,


7ème JOUR  mercredi 9 Novembre 2005: Aéroport de  SAO PAULO. Envol pour IGUACU. 

amérindiennes du Paraná aux chutes d' Iguacu
 

Amérindiennes du Paraná aux chutes d' Iguacu 


Situées à la frontière entre le Brésil, le Paraguay et l'Argentine. les chutes d'IGUACU sont incontestablement parmi les plus belles cascades ou monde (les premières en volume d'eau) avec celles du Zambèze et du Niagara. Paradoxalement, elles sont assez peu connues. « IGUACU", en indien guaroni, signifie "grande eau " 

chutes d'IGUACU 

C'était bien vu puisque plus de 200 chutes se pressent sur un front de 2,5 kilomètres dans une exubérante végétation tropicale. Les chutes étagées se jettent les unes dons les outres, tantôt en de minces filets perçant au travers d’'une végétation touffue, tantôt en de larges et hautes cascades. Avec leurs 72 mètres de hauteur en moyenne, elles dépassent celles du Niagara hautes 47 mètres..


8eme JOUR  Jeudi 10 Novembre 2005. IGUACU visite des Chutes
COTE Argentin, on approche les chutes et la jungle ou plus près en empruntant les chemins supérieurs et inférieurs aménagés sur les chutes qui permettent d‘apprécier de prés la force et la puissance des eaux.. Les chutes IGUACU", demeure légendaire du Dieu serpent des indiens Caigonges se découvrent par des sentiers fleuris d‘orchidées, égayés de papillons multicolores, de toucans et d'aras, tout cela auréolé d’un éternel arc-en-ciel.. La découverte du Parc National s'est poursuivie avec un trajet en train jusqu'à la célèbre GORGE DU DIABLE pour découvrir la faune et la flore suivie d'un rafting en zodiac jusqu‘ou pied des chutes.

Iguacu les chutes côté argentin l'aventure

Vidéo prise dans le Parc national d'Iguazu , est situé au milieu de la forêt tropicale, à la frontière entre l'Argentine (80 %) et le Brésil (20 %):

COTE Brésilien,  par un sentier qui nous mène jusqu'au belvédère qui fait en face, coté argentin

9 eme JOUR  Vendredi 11 Novembre 2005. SALYADOR DE BAHIA BRASILIA. 
Capitale de l'état de Bahia, Salvador fascine, trouble, et véhicule une charge forte d’exotisme et de dépaysement. Fruit d’une longue histoire d‘amours tumultueux entre l'Europe et l’Afrique, c‘est la plus africaine de toutes les cités sud-américaines. 

Salvador de Bahia Igreja da Ordem Terceira de São Domingos


Ville profondément humaine, Salvador s‘apprécie pour son atmosphère si particulière, mais aussi pour ses Trésors d'architecture, les splendeurs délirantes du baroque, le pittoresque de ses vieux quartiers, l’écrin naturel de la baie de Tous les Saints, sa musique, son ambiance de fête et la chaleur de ses habitants-

Salvador de Bahia Tambours 16 R. Inacio Acciole



Départ pour la cité historique de CACHOEIRA, 
Avant de monter dans le bus, une bahianaise en costume traditionnel. nous remet un bracelet porte-bonheur du Senhor Do Bomfin. 



CACHOEIRA, est ville coloniale assoupie sur les berges du Rio Paraguaçu les paysages variés de l’arrière-pays constitués de plantations de canne à sucre, tabac, palmiers a huile, bananes..

les berges du Rio Paraguaçu

Sur la route, nous nous sommes arrêtés  au sympathique et accueillant village de SANTO AMARO (cité natale du célèbre chanteur et musicien Caetano Veloso et de sa sœur Maria Bethânia Teles Veloso, dite Maria Bethânia° pour y découvrir son exceptionnel marché de fruits tropicaux, légumes, noix de cajou, épices, mais encore de poissons séchés et de boudins de tabacs..

Santo Amaro.- A Cobbler mending a boot


C’est un festival de couleurs et d'odeurs .La visite s'est terminée par une promenade vers la place ombragée de la mairie et son église de Notre Dame de la Purification. Sur le retour uns arrêt fut fait pour la visite d‘une coopérative de cacao..

Hand-made cane juice Santo Amaro das Brotas


10 eme JOUR  samedi 12 Novembre 2005.
Visite guidée de la ville de Cachoeira. Située dans la région du « Recôncavo baiano » (région fertile entourée par la Baie des tous les Saints), a été fondée en 1694, par les deux fils du portugais Diego ALVARES..

Cachoeira ferme de fabrication traditionnelle de la farine de manioc

De la vieille cité coloniale qui prospéra avec le développèrent de la canne à sucre et du tabac, subsiste un charme tout particulier avec ses rues pavées de pierres, bordées de belles constructions anciennes aux tons pastels et ses églises, comme celle de M.D. de judo. Visite d'une fabrique de cigares et démonstration de confection de cigares encore roulés o la main.

São Félix (Bahia) Woman Cigar Makers in Dannemann Factory with Caboclo

NB: Caboclo, ou caboco, est un terme brésilien désignant les métis descendant d'unions entre européens blancs et d'amérindiens.

11 eme JOUR  Dimanche 13 Novembre 2005. Salvator de Bahia/ Sao Paulo / Paris

SALYADOR se compose en deux parties liées à sa géographie et à son histoire : la ville basse et la ville haute qui abrite le centre historique, .la porte bosse, étroite bonde de terre entre |o baie et la colline ; c‘est essentiellement la zone portuaire, la partie commerciale et le quartier des affaires de la ville, cette bande de terre s’élargit en longeant la baie jusqu'à la péninsule d'ltogipe où se dresse, sur la colline sacrée, l'église de Nosso Senhor do Bonfim, Saint Patron de Bahia et haut lieu de dévotion de la ville. 
Palácio Rio Branco (Salvador) 

La visite des quartiers populaires et animés du bord de mer et les plages, comme « Barra » avec son phare, et de pont et d*autre de l’anse, le Fort de Notre-Dame de Monte Serrat, les forts de Santo Diego, Santa Maria et Santo Antonio de Barro, ou débarqua TONE DE SOUSA, le fondateur de la ville. Visite du centre historique de la ville avec le quartier du PELOURINHO, classé par l'Unesco et restauré en 1993. et du MERCADO DO0ELO, le plus grand marché artisanal 

 Forte de Nossa Senhora de Monte Serrat



Visite de Église et couvent São Francisco, étonnante église baroque dont l'intérieur semble couvent de feuilles d'or. Visite de la Cathédrale basilique, ancienne église du collège des jésuites, construite au XVlléme siècle, chef d‘œuvre du baroque colonial..

 Catedral Basílica de Salvador

La photo ci dessus montre quelques  « mãe de santo » (mère de saint).  les Ialorixá  spécifiques de la religion Candomblé. fondé sur la relation entre l’homme et la nature. La croyance est toujours présente au Brésil particulièrement dans la région de Salvador de Bahia, 
Les déesses, Iemanjá et Oxum.

Les divinités appelées Orixás, sont dotés de personnalités propres. Le panthéon du Candomblé est assez large, mais on peut retenir les principaux Orixás sont le plus présents au quotidien de la vie des habitants de Salvador; la ville elle-même étant sous l’influence de deux puissantes et belles déesses, Iemanjá et Oxum.

Rapide tour panoramique de la ville avant l'envol à destination de Paris via Sao Paulo

Un au revoir à Salvator de Bahia

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